| ASHTAR
- 24 février 2005 canalisé par Oriel
Nous vous encourageons à travailler avec patience. Ce monde en demande
beaucoup. Si vous pouviez transposer votre vision et comprendre qu’il n’est
pas plus faux, et que du contraire, de considérer les obstacles comme la
matière même de votre transformation. C’est pour les vivre et vous découvrir
grâce à eux que vous être là. C’est un jeu, même s’il est difficile d’y jouer.
C’est un jeu magnifique.
Pourquoi ne pas vous mettre dans cet état de compréhension qui contient
beaucoup plus de joie et de liberté ? Rien ne vous en empêche si ce ne sont
vos propres obstacles intérieurs, c’est donc là qu’il faut creuser. C’est pour
cela que la ligne d’arrivée ne peut-être qu’à l’intérieur, parce que le chemin
extérieur est un mirage.
Pourquoi encore vous courber devant les épreuves ? Pourquoi encore redouter
qu’elles vous arrivent ? Pourquoi ne pas simplement les prendre avec joie et
enthousiasme en vous disant simplement : "Je vais encore parvenir à me
dévoiler un peu plus grâce à cet obstacle." Et plus il vous paraît difficile à
surmonter, plus vous pourriez remercier, en sachant que la liberté obtenue par
la suite sera proportionnelle au malaise que vous pouvez ressentir.
Oui, il n’est pas évident d’adopter ce point de vue d’un coup. Nous savons
bien ce que vous expérimentez comme lourdeur. Mais nous voulons simplement
dire qu’il est utile d’y travailler, tout à fait concrètement.
Cela signifie simplement que lorsque vous avez un malaise et que vous vous
surprenez à courber l’échine ou à vouloir le contourner, il est possible de
faire un acte qui vous redresse. Peu importe cet acte, ce qui compte le plus,
c’est ce qu’il provoque en vous, c’est l’assurance qu’il vous donne dans le
regard que vous portez sur vous mêmes. C’est l’acceptation un peu plus
consciente de vos faiblesses. Cela dégage une foi plus grande qui vous donne
la force de graver un sillon plus conscient sur votre disque intérieur. Ce
disque qui vous permet de parcourir ce monde, même dans l’inconscience, et que
vous appelez la personnalité. Lorsque vous libérez, petit à petit, toute
l’énergie qui s’y écoule, vous prenez les commandes de cette machine
extraordinaire et vous êtes
de moins en moins soumis à elle.
Et cela ne se produit que pas à pas, à chaque fois que vous pouvez poser un
acte concret qui va dans le sens de votre liberté intérieure. | |