DIEU - 7
novembre 2004
canalisé par
Muriel/Ellea
Mon enfant, Je
souhaiterai que tu prennes un message pour tes frères et sœurs, qui concerne
les maladies graves et moins graves. Tout ce qui arrivera dans les prochains
mois ne fera que venir confirmer les miracles que vous allez accomplir envers
la planète et ses habitants.
Il ne faudra
pas avoir de craintes, toutes vos facultés sont réactivées au fur et à mesure.
Et de la façon dont vous les appréhendez, il existe encore quelques blocages,
quelques peurs liées à ce que vous appelleriez une notion de pouvoir et de
puissance.
Cette
puissance si elle est bien contrôlée, dans le but du bien et de la guérison,
ne doit pas vous effrayer, et le pouvoir est un concept de 3D ; dans les
mondes et dimensions supérieurs, cette notion n’existe plus.
Vous avez
accepté de faire partie de Mes « guerriers de lumière », chargés de diffuser
et de protéger l’amour et la lumière. Il ne faut pas se voiler la face,
certains continueront et d’autres lâcheront parce que cela n’ira pas assez
vite pour eux. Ils auront l’impression de stagner ou, dans certains cas, de
reculer.
Vous avez tous
en vous des dons que vous gardez avec vous au long de vos incarnations. Ces
dons ont été utilisés ou non, mais l’essentiel c’est qu’ils sont au fond de
vous. Certains ne se rendent pas compte du potentiel qu’ils ont en eux ;
souvent vous pensez que quand vous accomplissez un acte de guérison ou d’aide,
le résultat est un « pur hasard », mais voyez comme ce « hasard » se répète
souvent… Vous commencez à toucher du doigt ce que vous avez en vous.
Vous formez
une toile d’amour et de lumière. Vous avez entendu ces mots sans cesse, mais
vous ne l’avez pas vu de vos yeux terrestres ; votre âme sait écouter le
« ressenti ». Tout ce que vous pensez n’être que des « hasards », des
coïncidences se révèleront à vous, petit à petit, à mesure que votre
« esprit » est capable de l’accepter.
Vous vivez en
ce moment des périodes de doutes, de pertes d’énergie, de manque de confiance
en vous. Mais remerciez ces doutes, car ils vous font avancer, ils vous
permettent d’être au plus juste de vos perceptions. Gardez les yeux bien
ouverts sur la réalité et en même temps, gardez votre enfant intérieur
éveillé ; c’est lui qui vous fera voir les choses de façon naturelle et vraie.
Cet enfant que
chacun a au fond de lui, prenez-en bien soin. Soyez toujours émerveillés de
tout ce qu’il vous est donné de voir. Soyez ouverts et laissez-vous guider par
votre intuition ou par votre ressenti. Tous les changements de vos corps sont
reconnus par vous simplement. Vous vous posez des questions du genre :
« Est-ce que c’est déjà arrivé à d’autres, est-ce que c’est normal, est-ce que
je suis malade ou est-ce que ce que je ressens est normal dans ce processus de
purification ? »
Voilà les
questions que vous vous posez ; sachez simplement que vous êtes entre de
bonnes mains, les vôtres. Tout ce qui vous arrive a été choisi, vous fermez
une boucle, vous bouclez la boucle de vos incarnations, vous venez finir ce
que vous aviez commencé et cela vous fait peur.
Si vous aviez
su dès votre arrivée dans ce corps tout ce qui vous attendait, vous seriez
allés directement là où vous pensiez, vous seriez passés à côté d’expériences
nécessaires à votre avancée. Et regardez en arrière, juste un peu, combien
d’entre vous voudraient réellement changer de vie pour une autre ? Tout ce qui
vous est arrivé et vous arrivera encore n’est que le fruit de tout ce que vous
avez semé. Les doutes sont nécessaires à votre avancée, les questionnements
aussi.
Soyez comme un
entonnoir, remplissez-vous, faites couler en vous les énergies et laissez
ensuite tout cet amour et ces énergies revenir à la Terre Mère, pour la
nourrir, pour l’emplir d’une part de cet amour déversé en vous. Gaïa est dans
une phase où chaque parcelle d’amour, chaque pensée, chaque geste pour elle
est importante. Vous êtes liés les uns aux autres, vous travaillez en harmonie
divine, vous êtes simplement une partie de la création divine.
Demandez, mais
demandez-nous de vous aider, n’ayez pas « peur » de le faire, nous sommes là
pour ça, Je suis là pour vous aider, un père n’aide-t-il pas ses enfants ? Je
suis une partie de vous, et vous êtes une partie de Moi. Quand une partie de
votre corps va mal, vous vous en occupez avec amour, n’est-ce pas ?
Aimez votre
véhicule de chair, donnez-lui les joies qu’il attend, vénérez-le en l’aidant à
se guérir seul. Les vibrations d’amour qu’il ressent le rendent fort et sain.
Pardonnez-vous et aimez-vous. Tout ce que vous avez fait de bien ou de mal
était nécessaire à la compréhension de votre nature divine.
Pardonnez-vous, Mes enfants, comme Moi Je vous pardonne parce que Je vous
aime, alors aimez-vous et toutes vos maladies ne seront plus. Votre corps vous
appelle au secours, il vous demande de l’aimer, de le respecter, de le chérir
comme un enfant, ce petit enfant que vous étiez, émerveillé, joyeux. Redevenez
ce que vous étiez et les maladies n’auront plus leur raison d’être.
Utilisez les
méthodes naturelles pour vous soigner, ressentez ce qui est bon pour vous.
Vous verrez comme la nature est parfaite, comme vous l’êtes. Tout a été mis là
pour que vous vous sentiez le mieux du monde. Les pensées, les intentions, les
prières sont des outils puissants, vous le verrez de plus en plus. Et au fond
de vous, vous savez que la maladie est un état choisi pour vous faire
comprendre le sens de certaines choses. Alors, Mes enfants, restez dans la
lumière et redevenez les êtres divins que vous êtes.
Chacun d’entre
vous découvrira quelle mission il ou elle a choisi ; certains sont
thérapeutes, d’autres sont là pour aider Gaïa à s’alléger d’âmes errantes,
d’autres encore sont des phares et des guides… Certains peuvent être tout cela
ensemble, mais vous découvrirez que rien ne vous est arrivé par hasard.
Le chemin est
là, sous vos pieds, bien tangible, bien réel.
Toutes ces
petites choses qui vous faisaient douter, sont là pour vous faire avancer.
Vous ne pouvez pas être sûrs et ressentir une chose si vous ne l’avez pas
expérimenté ; vous serez ainsi plus à même d’en parler, de l’expliquer si vous
en avez un souvenir dans vos cellules.
Vous formez
une toile, un réseau, de bonnes volontés, Mes enfants.
Je vous aime
d’un amour si infini que vous n’en avez pas conscience.
Vous êtes et
serez encore guidés et tout cela n’est que le début de votre éveil. Ouvrez
grand votre esprit, votre cœur : tout est là, ne demandant qu’à être ressenti.
Mes enfants,
nous sommes fiers de vous.
Vous êtes tout
simplement en passe de devenir ce que vous aviez choisi d’être.
Alors soyez et
aimez.
Je vous aime
et vous bénis tous.
VOTRE PÈRE
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