MAITREYA  -  février 2004

canalisé par Muriel Gadin

 

Le sujet que je voudrais traiter maintenant est celui de la dégénérescence des sens au profit de la régénérescence de l’âme.

L’âme est dans un premier temps bien malmenée et perd de sa force avant qu’on ne la rappelle. Il en est de même pour les sens physiques qui dans un premier temps sont affaiblis. Il est toujours question d’extrêmes dans la troisième dimension car il y a la double polarité.

Donc, je dis cela à tous ceux qui ont connu l’extrême et/ou qui le connaissent. Bienvenue mes frères. Vous êtes aux portes de l’Univers. Vous avez choisi de vivre l’extrême pour mieux vous en libérer et apprécier ce qui sera acquis. On sait tous que l’être humain a toujours besoin de perdre quelque chose pour pouvoir en apprécier les enseignements.

 

Cet extrême est en plus le signe d’une grande sensibilité et donc d’une connexion à l’âme possible, préparée.

Je vous le dis bien à tous aujourd’hui, ne luttez pas contre vos extrêmes ; ils sont votre issue. Bien au contraire, palpez-les, appréciez-les car ainsi ils communiqueront avec vous pour vous fournir la clé.

Votre clé, celle de votre affectif troublé et donc, par la même occasion, celle de votre capacité d’amour immense. Celui qui souffre plus qu’un autre d’un manque d’amour est celui qui le connaît davantage…

La solution est dans votre sensibilité.

Il faudra juste après l’orienter afin qu’elle donne, qu’elle apprenne le don et non le « prendre ». Elle doit vous servir à vous remplir.

 

Fais passer ce message qui doit servir à tous ceux qui ont dans leur entourage des personnes qui souffrent de toute dépendance quelles qu’elles soient. Je le répète cette sensibilité est celle de l’être divin dans la 3ème dimension. Il s’agit de la considérer comme un capital et non comme un handicap. Elle est votre capacité à aimer et donc pour ces personnes à s’aimer d’abord…

Je suis Maitreya aujourd’hui canalisé par ma chère sœur qui doute et qui pourtant doit aujourd’hui prendre son envol. Je t’aime et je t’encourage.

 

 

 

   
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