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Lady Nada
Canalisé par Mireille Raux - 15 février 2006
Ne soyez plus seuls, mes très chers enfants, sachez qu’à tout instant de
solitude je suis là. Faites le vide en vous, demandez-moi, les moments de
solitudes ne doivent plus exister maintenant pour vous. A chaque instant, je
peux vous tenir la main, vous tenir compagnie, vous conseiller, vous aimer.
S’il vous plaît, ouvrez-vous. Soyez en paix à chaque petite faille, chaque
petite épreuve, sachez que tout ne peut pas aller droit, sachez le sinon où
serait votre travail ?
Je vois de si belles âmes, maintenant, il y en a de plus en plus, il y a
toujours eu beaucoup, beaucoup, mais la densité du voile était tellement
épaisse qu’elles ne se dégageaient pas.
Je sens qu’il y a, malgré tous les tracas, tous les soucis, une élévation de
grande fraternité, mes chers enfants, et j’en suis si heureuse. Justement ce
sont tous ces tracas, ces soucis qui vous font vous élever. Je suis si fière
de votre courage, de vos batailles, je sais et je sens que vous allez tous
rapidement vous unir et vous en sortir. L’union, l’unisson, c’est ce qui
vous manqué jusqu’à présent, mais vous comprenez, maintenant, et c’est le
principal. Il ne devrait plus y avoir de races, de frontières, de
différence, mais il y a encore beaucoup de travail à faire, encore beaucoup
là-dessus.
Habituez vos enfants à avoir de l’espoir, l’espoir c’est le tout, c’est la
source, c’est l’amour. Ne vous énervez plus, mes très chers, pour des choses
qui ne sont que des bagatelles, mettez de côté tout ce qui ne vaut pas la
peine et avancez, avancez toujours.
Aidez quand vous le pouvez votre prochain. Il n’est pas utile de trop
s’investir pour aider, vous savez, il suffit, simplement, quelquefois de
donner un peu, de voir qui a besoin.
En tout, je vous rappelle, demandez moi en cas de besoin, j’aide beaucoup
les gens dans la solitude, je viens et repars sur la pointe des pieds et,
des fois, vous pouvez sentir ma présence par un petit souffle froid sur
votre épaule.
Je vous envoie, mes très chers enfants, mes roses du bonheur, de la
fraternité et de la bonne entente. Je vous embrasse de tout mon cœur, je
suis heureuse que vous m’ayez écouté un petit instant |
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